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Mon expérience dans le Massage Fondamental

Massage Fondamental, une Voie du Toucher
Par CASSANDRA VALY
Ceci est mon article de fin d’étude suite à ma formation en Massage Fondamental. Pour en savoir plus, vous pouvez me contacter ou suivre ce bouton pour découvrir cette formation.

Sommaire


Dans cet article, je vais parler de mon expérience autour du massage. Avant la formation, mais également mon expérience et mes ressentis durant la formation de massage fondamental et tout ce qui a bougé dans ma vie grâce à cette formation.


I) Premières expériences dans le massage


Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé faire du bien aux gens. Déjà enfant j’accordais beaucoup de temps à aider les autres, puis j’ai commencé à masser durant mon adolescence. Masser mes proches, mes amis, ma famille. Je proposais souvent des massages crâniens à mes proches, pour soulager leurs maux, ou simplement pour les détendre. Il m’arrivait également de masser les animaux, chats, chiens, rongeurs, etc. J’arrivais à calmer les chiens les plus énervés simplement avec mes mains, souvent ils finissaient par s’endormir.
Depuis toute petite, j’ai toujours pris plaisir à malaxer, pétrir, toucher à tout, tripoter les cheveux, les poils des animaux. Je m’amusais souvent à me bander les yeux pour développer mes autres sens. D’ailleurs j’ai appris plus tard, sans surprise, que mon sens le plus développé était le toucher. J’ai une mémoire kinesthésique, ce qui fait que j’ai toujours eu des facilités à apprendre en faisant, en pratiquant.
Puis j’ai mis de côté le massage, je me suis oubliée, j’ai travaillé dans des domaines où j’accompagnais et j’aidais les personnes différemment. Je faisais aussi du bien, mais différemment. Ne trouvant pas ma voie personnelle et professionnelle, j’ai expérimenté le syndrome du sauveur.
J’ai souhaité devenir massothérapeute bénévole, assistante sociale, cupidon, conseillère conjugale, et j’en passe.
J’ai toujours voulu travailler auprès des autres et pour les autres. D’abord auprès des animaux, en étant soigneuse animalière, puis auprès d’enfants en difficulté, pour terminer en accompagnant des équipes d’adultes.
Pendant toutes ces années j’ai pu accompagner, aider, encadrer, conseiller, mais j’ai fini par me rendre compte que tout ce que je faisais pour les autres, je le faisais tout en étant déconnectée de mon propre corps, je m’oubliais. J’étais beaucoup dans l’esprit dans tout ce que j’entreprenais, mais je manquais d’ancrage.
Après des mois, voire des années à me perdre dans différents métiers alimentaires et suite à un burnout, une grosse introspection et un bilan de compétences, je me suis rappelée à quel point j’aimais le massage. Pour la première fois j’ai même envisagé que je pourrais en faire mon métier. Vivre en faisant ce que j’aime, faire du bien aux gens.


II) Naissance d’un projet et adaptabilité


J’ai alors commencé à parler de mon projet autour de moi, à mes proches, à ma famille, à mes amis. J’ai la chance d’être entourée de personnes qui me soutiennent et qui m’accompagnent dans ce que j’entreprends. J’ai fini par rencontrer une personne qui avait une table presque neuve à vendre, qu’elle m’a vendu à un prix très abordable. Puis j’ai acheté mes premières huiles en pharmacie et je me suis lancée.
J’ai d’abord proposé des massages autour de moi dans ma ville, à ma famille, mes amis. Puis, petit à petit, je me suis créé un petit réseau de clients plus ou moins réguliers, qui contenait maintenant également les connaissances et les amis d’amis. J’ai l’avantage d’avoir travaillé six ans dans le social et d’avoir déjà un bon réseau dans ma ville.
Pendant deux mois environ je prenais ma voiture pour me rendre à domicile chez les gens avec ma table de massage, ou les personnes choisissaient de venir chez moi, n’ayant pas de local, mais une pièce assez grande à domicile. N’ayant pas de formation particulière dans le domaine à part l’expérience personnelle que j’avais du massage, je proposais aux personnes des massages intuitifs.
C’est ainsi que j’ai appris à m’adapter, parfois dans des lieux étroits et mal adaptés pour des massages à domicile. Je me suis rendu compte rapidement qu’acheter mon huile en pharmacie me revenait très cher, sachant qu’un flacon me permettait de faire trois ou quatre massages maximums. Il fallait donc trouver une autre solution. J’ai fini par ajouter mon propre matériel : draps, serviettes, couvertures, enceinte pour la musique. Puis je me suis rendue compte rapidement que je n’avais pas assez de matériel pour tout le monde et que je passais mon temps à faire des machines. J’ai donc fini par demander aux gens de prévoir leur propre matériel quand je venais chez eux (serviette, drap, couverture, coussin si besoin). Pour ma part je ramenais uniquement ma table, l’huile et la musique. Je prévoyais tout de même un drap, une serviette et une couverture au cas où la personne ne serait pas bien équipée.
J’ai vécu également une mauvaise expérience avec des bougies. Au début je ramenais des bougies parfumées pour ajouter une ambiance tamisée et une senteur durant mes massages, avec une intention de faire au mieux pour mon client. Cela a fonctionné pendant les premiers temps, car j’éteignais les bougies tout de suite à la fin du massage. Ensuite le temps du rangement, et souvent les personnes me proposaient une boisson chaude après le massage, les bougies avaient le temps de refroidir. Puis une fois je me suis retrouvée chez une cliente qui était pressée car elle avait un rendez-vous après le massage. J’ai donc du ranger rapidement mes affaires et je pensais que les bougies avaient eu le temps de refroidir. Malheureusement les bougies se sont déversées dans la pochette de ma table de massage, imbibant toutes mes affaires au passage. J’ai donc abandonné l’idée des bougies (en tout cas pour les massages à domicile), en me disant que je trouverais une autre solution plus tard, comme un petit diffuseur d’huiles essentielles pour les personnes que ça ne dérange pas. Puis je me suis dit que ce n’était pas une priorité et qu’il valait mieux commencer avec le strict minimum, mais faire les choses bien.


III) Ma découverte du massage fondamental


Je me suis vite rendu compte que même si les retours de mes premiers clients étaient toujours positifs, je me sentais mal à l’aise à masser certaines parties du corps. Le ventre, le visage, les cervicales, la tête quand la personne était allongée (j’ai toujours fait mes massages crâniens assis). J’aimais masser mais je manquais de techniques et de connaissances concernant le corps physique de la personne, son anatomie en général. C’est alors que j’ai entrepris de rechercher une formation dans le massage. J’ai d’abord recherché autour de ma ville, mais je ne trouvais aucune formation assez complète pour pouvoir m’attirer.
Je recherchais une formation alliant des connaissances scientifiques et une partie énergétique, pour pouvoir travailler sur les différents corps, mais également sur l’esprit et les sensations. Je souhaitais également connaitre les bases de la réflexologie plantaire, car c’est un sujet qui m’a toujours interpellé. Les pieds et les mains étant les parties du corps où je préfère masser et être massée, j’avais envie d’en savoir plus sur comment fonctionnait la réflexologie.
Quand je suis tombée sur la formation de massage fondamental, tout ce que je recherchais était proposé dans ses modules.
Définition du massage fondamental : à la frontière entre le massage bien-être et la massothérapie, le massage fondamental est avant tout une manière d’écouter le corps de la personne et d’appliquer un toucher adapté, pertinent, appuyé tant sur l’intuition que sur une compréhension physiologique et biomécanique du corps.
Cette formation me permet aujourd’hui de développer mon massage intuitif, tout en ayant plus de connaissances et en étant consciente de ce que je viens activer dans le corps de la personne. Cela me permet de faire le lien entre ce que vit la personne et ce que son corps dit. Je découvre aujourd’hui une nouvelle forme de thérapie, même si ce n’est pas officiellement une thérapie. Le corps parle, le corps sait.
Je me rends compte à présent de l’importance de la force du corps, de l’intention que l’on met et des mouvements proposés dans les massages. Nous donnons l’impulsion et le corps effectue son travail.
Le massage fondamental est un massage qui regroupe différentes techniques comme le massage des fascias, massage des systèmes circulatoires et lymphatiques, massage biodynamique, réflexologie plantaire, massage du visage s’inspirant du Kobido, et autres techniques du monde. C’est un massage qui, pour moi, est à la limite du massage thérapeutique, car nous sommes à l’écoute des besoins et demandes de la personne massée. Nous sommes également à l’écoute du corps et nous faisons en sorte d’amener la personne vers un mieux-être en nous laissant guider par ce que son corps nous exprime et par la demande de base de la personne.


IV) Zone de confort et barrières limitantes


Je me suis retrouvée face à des personnes qui ne disent pas un mot durant le massage, mais dont le corps parle énormément. A ce moment-là je suis très à l’écoute de mes sensations et de ce qui passe à travers mes mains. A l’inverse, je me suis retrouvée dans des situations où la personne se retrouvait dans un tel état de confiance et d’apaisement qu’elle finissait par se livrer sur sa vie et ses problématiques actuelles et elle parlait alors durant tout le massage. Dans ces cas-là, j’ai encore un peu de difficulté à trouver un juste milieu entre avoir une écoute active et bienveillante des mots de la personne (oreilles) et l’écoute de son corps et des maux de son corps (mains).
C’est également ce qui est passionnant. Chaque séance de massage est complètement différente, même si je masse plusieurs fois les mêmes personnes. Les sensations dans le corps sont différentes, ainsi que mes propres ressentis. Lorsque je masse je suis beaucoup à l’écoute de mon intuition et je me laisse guider par mes mains. Même si je suis en général un fil rouge et que je sais à peu près où je vais commencer sur le corps et où je vais terminer, ce qui se passe entre les deux est chaque fois différent. Comme si chaque massage était un voyage, une nouvelle découverte du corps.
Les premiers modules dans le massage fondamental ont été à la fois passionnant, mais ils sont venus également confronter ma zone de confort et mes barrières limitantes. D’abord dans l’apprentissage des techniques. Je me suis rendu compte dans un premier temps que je prenais moins de plaisir à masser que lorsque je faisais du massage intuitif, car j’étais tellement concentrée sur la technique qu’il n’y avait plus de fluidité et d’intuition dans mes massages. J’étais beaucoup dans le mental et moins dans la création. Ensuite dans l’apprentissage de l’anatomie du corps, ce que, pour rappel, j’étais venue chercher dans cette formation. Je me suis retrouvée confrontée malgré moi à l’adolescente rebelle que j’étais, devant apprendre des cours par coeur, ne trouvant aucun intérêt à cette discipline. Me retrouvant à devoir lire des livres sur une très courte période. Six mois c’est à peu près le temps que je mets à lire un livre en terme général, c’est également le temps de ma formation, et j’ai autant de mois de formation que de livre à lire. En plus de la pratique, des révisions, de l’article à écrire, et de toute l’introspection personnelle qu’entrainait le massage, cela a mis grandement à l’épreuve mon organisation.
J’ai eu la sensation de parfois courir après le temps durant cette formation, ce qui fait que j’ai dû prioriser les choses. Je me suis concentrée en majorité sur la pratique en ne trouvant pas toujours le temps de me poser pour lire. Des livres qui ont l’air pourtant passionnants et que j’aurais plaisir à lire quand j’aurais un peu plus de temps.
Cela fait maintenant trois mois que je suis arrivée dans une nouvelle ville, j’ai traversé la France pour faire cette formation et je suis arrivée dans une ville où je ne connaissais personne, c’était également un nouveau challenge pour moi. J’ai vécu 28 ans dans une petite ville où je connaissais beaucoup de monde et où il m’était facile de me créer un réseau. Je suis arrivée dans une grande ville où je ne connaissais personne et où il fallait que je me créé un réseau rapidement pour pouvoir pratiquer mes massages. Même si mes colocataires étaient de très bons cobayes, j’avais également envie d’expérimenter sur des personnes différentes, des corps différents. Au bout de deux mois j’ai réussi à me faire une liste d’une vingtaine de personnes à masser, plus ou moins régulièrement. J’étais plutôt fière de moi, mais ayant travaillé dans le social pendant des années, il est normal que je connaisse les techniques pour me créer un réseau rapidement.
La pratique est ce que je considère comme le plus important pour moi, car j’ai besoin de temps pour intégrer les nouvelles techniques apprises. Comme je le disais précédemment, j’ai la sensation que mes massages sont devenus beaucoup plus mécaniques et moins intuitifs depuis que j’ai appris de nouvelles techniques de massage. Je suis beaucoup plus concentrée sur ce que je fais plutôt que sur ce que je ressens. Heureusement mes clients ne le ressentent pas pendant le massage, mais moi je sens que je suis moins à l’aise. A force de pratiquer je commence à trouver, ou bien à retrouver mon identité de masseuse, mais ça prend un peu de temps.


V) Ancrage et introspection


Depuis mon arrivée dans le sud de la France, j’ai commencé un travail d’ancrage important. Important car je n’ai jamais été ancrée dans ma vie. C’est aussi ce que je suis venue chercher dans cette formation. Le massage m’aide énormément à travailler cet ancrage, ainsi que la danse, la marche et le yoga.
J’ai d’ailleurs trouvé des similitudes entre le massage et la danse, lorsque je suis bien ancrée durant mon massage et que je me laisse porter par mes mouvements, j’ai la sensation de danser et tout mon corps suit le mouvement.
Je redécouvre petit à petit le corps, et même les différents corps. Je tâtonne, j’expérimente, comme une enfant. Je ressens dans mes mains et dans la pulpe de mes doigts le squelette de la personne, ses muscles, ses organes, ses fascias. J’ai fait la même expérience sur des chiens et des chats, pour m’entrainer à ressentir avec mes mains. Il m’arrive parfois durant les massages de ressentir des choses qui sont d’un domaine plus subtil, comme des émotions, des blocages ou des douleurs qui
appartiennent à la personne. C’est très furtif, mais ça me donne des indications qui me permettent de me diriger durant le massage. Comme si nos corps étaient connectés et qu’ils me donnaient des informations.
Je découvre les différents corps qui nous composent : le corps physique, le corps émotionnel, le corps intellectuel, le corps énergétique, subtil, et bien d’autres encore qui sont tous reliés les uns aux autres. Tout cela me donne envie d’en apprendre plus sur les différents corps qui existent. Que ce soit par le biais du Reiki, du Lahochi, du Shiatsu, du magnétisme, de la kinésiologie, etc. J’ai l’impression d’être au début d’un nouvel apprentissage passionnant.
Après des années à travailler dans le social, à travailler avec la communication, avec les mots, je me rends compte que les mots ne disent pas toujours la vérité. Ils peuvent mentir, manipuler, donner l’illusion. Alors que le corps sait lui, il ne peut pas mentir, il dit toujours la vérité. Je me retrouve actuellement dans une sorte de dualité, depuis que je me reconnecte à mon corps. D’un côté mon mental / mon égo, peu importe le terme utilisé. De l’autre mon corps et mon coeur qui s’ouvre petit à petit. Je me rends compte à quel point mon mental me dupe, et me maintient dans une forme de souffrance depuis des années. Mais mon corps connait la vérité, il sait ce qui est bon pour lui, il sait quoi faire et dans quelle direction aller.
Le travail d’ancrage que je suis en train de faire en ce moment, grâce au massage, à la danse, à la marche et toute autre forme de méditation, a réveillé en moi des blessures enfouies depuis longtemps. Telles que la blessure de rejet ou bien la blessure d’abandon. Mais aussi mon manque de légitimité vis-à-vis de ce que je fais, mon syndrome d’imposteur, mon besoin d’être sans cesse validé par les autres, et j’en passe. Comme si mon mental redoublait d’effort pour me ramener à lui. Maintenant que je commence à me choisir et à m’écouter, alors que depuis des années je ne faisais qu’être et faire pour les autres. Lorsque je masse je me sens comme dans un état d’hypnose, un état méditatif, je me sens alignée, ancrée. J’ai le chakra du coeur grand ouvert et je suis dans un amour inconditionnel envers moi-même et la personne que je masse. Le fait de devoir intégrer
des nouvelles techniques de massage me ramène parfois à ce mental et à ces mots, qui sont les indicateurs de mes propres maux.
Lorsque j’ai choisi cette formation je me suis choisie moi, pour la première fois de ma vie. J’ai traversé la France parce que c’est l’école Kendreka qui m’appelait, pas une autre. Je suis arrivée dans une nouvelle ville où j’ai fait pleins de belles rencontres, de belles connexions, de belles synchronicités. J’ai découvert l’Ecstatic danse, une danse qui permet de reconnecter avec son corps et la fluidité de ses mouvements, ce qui est très complémentaire avec le massage. L’Ecstatic danse m’a permis d’aller vivre une expérience dans le désert marocain, voyage que j’avais déjà rêvé de faire il y a deux ans. Ce voyage m’a également permis de décupler la connexion à mon coeur et à mon corps. Dans toute cette avancée, j’ai l’impression aujourd’hui d’être au début d’une nouvelle vie. Une nouvelle aventure, vécu beaucoup plus dans le corps et beaucoup moins dans le mental.
Durant ma formation j’ai pu également expérimenter les échanges de massages, que ce soit avec mes collègues de formation ou en dehors de ma formation. Ce qui m’a permis aussi d’apprendre à recevoir et de ressentir les différentes façons de masser, les différentes empreintes des masseuses. Le massage et la reconnexion à mon corps m’ont permis d’aller déceler des blessures et des traumatismes bien ancrés chez moi. De les remettre en mouvement (sous forme d’émotions) et de les laisser me traverser.


VI) Conclusion


Pour conclure, je dirais que l’intention et la présence que l’on met dans le massage sont très importantes. Lorsque je masse, j’installe une ambiance, une présence, un confort, qui permet à la personne de se relâcher complètement et de se sentir en confiance. Chaque début de massage je m’aligne, j’ouvre mon chakra du coeur pour être dans un amour inconditionnel et je pose l’intention de soulager les maux de la personne, que mon massage soit juste et que mes mains soient guidées afin de répondre aux besoins de la personne. Cela me permet d’être dans l’instant présent, connectée à l’autre, mais également à mes propres sensations. J’ai découvert grâce au massage biodynamique qu’on pouvait envoyer une intention au plus profond des cellules du corps afin de permettre à la personne de se sentir dans un état de mieux-être. Qu’au-delà de la technique du massage, c’est cette présence et cette intention qui vont installer un état de relâchement et de détente au niveau psychique/énergétique. La raison pour laquelle j’ai toujours aimé masser a pris sens grâce au massage biodynamique. J’ai appris à masser au sol, et avec un stéthoscope. Ce qui permet d’être plus proche de la personne physiquement et d’être dans une écoute au niveau des mains et de l’oreille. C’est le type de massage dans lequel je me sens le mieux et que je souhaite continuer à explorer.

Merci d’avoir mon article de fin d’études ! Pour en savoir plus sur la formation en Massage Fondamentalque j’ai suivie, n’hésitez pas à me contacter ou à suivre ce bouton pour découvrir cette formation.
CASSANDRA VALY

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